Elle envahit de plus en plus depuis quelques mois un troisième et essentiel territoire : l’environnemental.
Bénéfice immédiat : la numérisation et le tracking complet des opérations, déjà disponibles à toutes les étapes grâce aux exigences des optimisations techniques et économiques des flux, vont permettre l’arrêt programmé du Green-washing dans le transport : il était temps !!!
En effet, depuis des décennies, chacun constate que de trop nombreux acteurs, dont certains de très grande taille, protégés par leur exclusivité de la connaissance exacte des opérations qu’ils contrôlent, se sont régulièrement proclamés d’une empreinte environnementale qui, évaluée par leurs seuls outils propriétaires, était toujours …. remarquable et en progrès incontestable…
Aujourd’hui, grâce à la digitalisation, tout est disponible : les trajets, type de véhicule, aéronef, navire, barge, train, le type d’énergie et les volumes consommés, les poids et taux de chargement et les trajets à vide, l’énergie, les sous-traitances… et les outils normalisés et certifiés pour faire les vrais calculs.
Finies les moyennes qui s’appuient elles-mêmes sur des moyennes d’émission et interdisent toute vision de l’éventail des solutions de progrès disponibles.
Depuis 10 ans TK’Blue mène ce combat pour la transparence et l’amélioration réelle de la performance environnementale de la chaine de transport.Les chiffres et déclarations de ces dernières semaines semblent enfin annoncer que ces badigeonnages du passé ne seront bientôt plus que de – mauvais – souvenirs !
Il était temps : comment tenir un engagement de réduction d’émissions de GES si on ne mesure pas précisément, et avec un Tiers de confiance, la réalité de la trajectoire tenue ?